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My Little World
13 mai 2008

"Tu n'ai pas mon genre"

Je vais sans doute regretter d'avoir écrit sur lui, sur cette phrase, sur ces mots qu'il a prononcés. Tant pis. Cet article me donnera l'occasion de lui démontrer que "non, je ne suis pas sur une pente glissante".
Septembre 2007, je rencontre cet homme de 2 ans mon ainé qui donne l'impression de débarquer de nulle part et qui n'inspire pas trop confiance. Au fil des semaines qui passent, il m'intrigue alors j'essaie d'en savoir plus sur lui. Je me rapproche, çà marche, il me parle de lui, de ces choses surprenantes qu'il a fait ou qu'il fait (comme conduire sans permis). Au fil de ses confidences, je crois dresser un portrait de lui (du point de vu sentimental): un homme aux multiples conquêtes dont sa plus longue relation n'a duré que ... 4 mois? (j'ai oublié).
En conclusion, quelqu'un qui n'est pas fait pour moi qui suis une grande romantique. Je dis "je crois" parce qu'avec lui, on est jamais sûr de ce qu'il pense réellement. Il prend un malin plaisir à se faire détester des autres (il le dit lui même) et est difficilement apprécié des autres. Plus les mois ont passé, plus j'en ai eu assez d'essayer de le comprendre, d'être son amie (ou plus? pourquoi le cacher ...avant, bien avant de le connaitre, j'avais laisser mon imagination divaguer mais c'était avant de savoir qui il était).
Lui et moi, être ensemble? Jamais. On l'a affirmé haut et fort plus d'une fois. Etant clairement différents dans tant de domaines, c'était clair ... et pourtant.
Lors des deux soirées que l'on a passé ensemble avec des amis, les gens ne savait pas bien si on était un couple ou non. La première fois , c'était clair, même si il collectionnait filles comme d'autres collectionnent les timbres, il était fidèle ...et à ce moment là, casé. Moi sur ses genoux, sa main dans mon dos, son bras posé autour de mes épaules, collés toute la soirée, il n'y avait rien. Et pour lui et pour moi.
La deuxième soirée, il était, je crois, célibataire. Mes mains sous sa veste, ma tête sur son épaule, sa main dans mon dos, sa tête posé légèrement sur la mienne, son bracelet autour de mon poignet (note: ce n'était pas la première fois qu'il s'y trouvait; je le trouvais beau et je lui piquait régulièrement)..tout portait à croire que nous formions un couple.

Son caractère et surtout sa manière d'être avec moi ou avec les autres m'ont éloigné de lui plus d'une fois mais au final, nos petits jeux reprenaient. Parce qu'il y avait des jeux entre nous. Et en particulier un. Un qui venait du fait que les gens autour de nous étaient persuadés que nous avions couché ensemble et qui nous avait donné l'idée de nous imaginer une relation intime, inventée de toute pièce. Je reçois encore maintenant des textos du genre " ou es tu chérie?Tu ne t'es pas remise de notre dernière nuit?" et moi qui répond "Tu m'as achevé..."

Annonçons le haut et fort: à cause de  ma stupide imagination, je me suis surprise à me demander si tout cela était réellement un jeu et  à me demander ce que j'allais faire si tout cela passait du fictif au pratique.

A force de me tourner les méninges dans tous les sens et d'imaginer tous les scénarios possibles à chaque fois que mon esprit divaguait (c'est à dire, souvent dans la journée), j'ai finalement pris la décision de lui demander. "Tu croyais quoi? Tout çà n'est qu'un jeu.". Me voilà fixée. Car même si il est persuadé que je m'étais imaginée un quelconque avenir avec lui, je dois affirmer le contraire. Lui et moi ne formeront jamais un couple. C'est toujours d'actualité et, personnellement, je n'ai jamais voulu le contraire. Quelque part tout au fond de moi, je dois être un tout petit peu scientifique et j'aime savoir avec exactitude ce qu'il en est des choses. Pourtant, sans avouer un quelconque sentiment pour lui, je dois avouer que çà m'a fait quelque chose lorsqu'il ma annoncé d'air tranquille que tout çà ce n'était pas vrai... Cela voulait dire que je ne l'attirais pas? Hypothèse confirmée par cette mélodieuse phrase, dites tout aussi calmement: "Tu n'es pas mon genre". Et alors? Lui non plus n'est pas mon genre, loin de là. Mais je dois avouer que l'égo en prends un coup...Pourquoi? Pourquoi est ce que mon égo réagit comme çà? Suis je rien? SI pour lui, je ne suis son genre alors est ce que je suis le genre de quelqu'un? Voilà comment 5 petite mots peuvent ébranler la confiance de quelqu'un parce que c'est bien çà le problème... ce n'est pas une histoire de sentiments ou de "tu es sur la mauvaise pente", c'est juste, encore et toujours un histoire de confiance en soi...


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Commentaires
L
je compren maintenant ton article et pk tu ma dit sa<br /> c bien ke t réussir a ecrir sa,,bravo<br /> gbsx a toi
T
J'aurais jamais pensé qu'un jour ce serait moi qui dirais ça à quelqu'un, mais bon; tu te prends trop la tête.<br /> <br /> Au pire, il est connu et admis que je déchire de manière ultime, et tu as été mon genre il fut un temps, donc pas de soucis à te faire pour ton égo.<br /> <br /> Sur ce je m'absente, mes chevilles ont quelques petits soucis là ;D
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